L'archevêque Arhiepiscopul [[Athanase d'Alexandrie|AthanaseAtanasie al Alexandriei]], figure de proue du parti « nicéen » en o personalitate importanta a "partidei" niceene în Orient, reconnut a recunoscut legitimitatea lui Paulin cu ocazia unei calatorii la légitimité de Paulin lors d'un séjour à [[Antioche]] auprès de l'empereur [[Jovien]] à Antiohia spre a-l'automne întâlni pe împaratul Iovian în toamna anului 363 : les « eustathiens » avaient été ses alliés de toujours dans la lutte contre l'[[arianisme]], cu atât mai mult cu cât "estatienii" au fost întotdeauna aliatii sai în lupta împotriva arianismului. La papauté aussi ignora [[Mélèce Ier d'Antioche|Mélèce]], puis, après l'arrivée à [[Rome]] de [[Pierre II d'Alexandrie|Pierre d'Alexandrie]], successeur d'[[Athanase d'Alexandrie|Athanase]], expulsé de son siège par les [[arianisme|ariens]] revenus au pouvoir sous [[Valens]] ([[373]]), prit une position encore plus claire : en [[376]], le pape [[Damase Ier]] reconnut Paulin comme évêque légitime d'[[Antioche]]. Cependant les figures de proue de la tendance « orthodoxe » dans l'Église grecque, comme [[Basile de Césarée]] (mais à l'exception notable d'[[Épiphane de Salamine]]), soutenaient [[Mélèce Ier d'Antioche|Mélèce]], et c'est celui-ci qui participa au [[Premier concile de Constantinople|concile de Constantinople]] de [[381]], qu'il présida d'ailleurs au début, avant de mourir pendant sa tenue. Une solution, désirée par [[Rome]] et [[Alexandrie]], et soutenue par [[Grégoire de Nazianze]], président du concile après la mort de [[Mélèce Ier d'Antioche|Mélèce]], eût été que Paulin soit reconnu comme successeur, et apparemment des engagements avaient été pris dans ce sens. Elle ne fut pas retenue, et c'est le prêtre [[Flavien Ier d'Antioche|Flavien]], qui avait accompagné [[Mélèce Ier d'Antioche|Mélèce]] au concile, et y avait représenté l'Église d'[[Antioche]] après la mort de ce dernier, qui fut consacré successeur à son retour en [[Syrie]] et reconnu par l'épiscopat oriental.